«J’ai passé 48 heures sans dormir» : libérée, la journaliste russe à la pancarte risque-t-elle d’autres sanctions ?
La journaliste russe qui avait interrompu un journal télévisé pour dénoncer la guerre en Ukraine a plaidé «non coupable» lors de son procès avant d’être remise en liberté. Elle doit payer une amende de 30 000 roubles, soit environ 250 euros. Mais Marina Ovsiannikova risque d’écoper d’une peine de prison. L’histoire pourrait ne pas s’arrêter là. Reconnue…